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Mardi 2 février, pour le maintien de la cabine qui doit être exposée dans le musée, le support avant a été usiné pour occuper les fixations de l’ancienne jambe de train. |
Le gabarit de l’attelage ne permettant pas de franchir le seuil du gymnase, la cabine est chargée sur des “Crapauds” et stockée dans cet espace qui deviendra le musée. |
La ferrure gauche en cours de pose, Monsieur le Maire donne la main. |
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En fin d’après midi, l’avion est décollé du sol pour vérifier le parfait centrage. |
Yves et Nicolas mettent une dernière touche de peinture sur les goujons de fixation avant le hissage de l’appareil. |
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Nos techniciens ont revêtu leurs plus beaux atours. Au moyen de l’élingue de crash, l’appareil est hissé une première fois. |
les supports sont guidés au centre de la section de la colonne, le traceur en marque l’empreinte. |
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Le Pélican 46 est redescendu au sol, et mis en attente. |
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Un deuxième traçage est effectué pour déterminer l’emplacement de la potence de carottage. Après perçage, des douilles filetées sont introduites pour recevoir la potence. |
La potence solidaire de la colonne, quatre forages de diamètre 40 m/m sont pratiqués. |
Pendant ce temps là, nos techniciens répondent aux sollicitations des médias. |
A droite Claude Le Louarn, à gauche Guy Richard le fidèle grutier qu’on a surnommé “Tarzan”. Il grimpe partout et a tenu à assurer toutes les opérations depuis le début. |
Snoopinotti, la mascotte est de la partie. Les goujons de 1 m de long et de 22 m/m de diamètre, sont équipés. |
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Puis ils sont glissés dans les orifices de la platine. L’avion est de nouveau hissé, déposé sur les colonnes, les goujons présentés dans les forages. |
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A l’issue de cette première phase réussie, Paul déploie le grand pavois. Des cadres sont confectionnés pour contenir le coulage de la résine de scellement. |
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L’étancheité entre le béton et le cadre est réalisée au moyen de mastic, puis la potion magique additionnée d’un catalyseur est intimement malaxée. |
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La résine versée dans les cadres se répand dans les trous de carottage. Le remplissage complet est réalisé par manoeuvre alternative verticale des goujons. |