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Mardi 7 décembre, Yves Pinotti attaque la peinture des fuseaux moteurs. |
C’est l’heure de l’apéro, Yves prépare “le jaune”. |
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La fente existant entre le bord d’attaque des volets et l’aile, est traitée en premier de façon à rentrer définitivement les volets. |
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Tout l’extrados de la voilure est recouvert à son tour. |
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Entre-temps, Loulou et Guy mettent de l’ordre dans la boulonnerie. |
Monsieur Robert Piccirillo, Président de l’association, nous rend visite plusieurs fois par semaine afin de constater l’avancement du chantier. |
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Petit à petit, le jaune se développe sur les bords d’attaque, les intrados, le fuselage. |
Les volets peints, Yves et Raymond les rentrent, à l’aide du banc hydraulique portatif. |
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Les marquages de l’appareil sont tracés avec précision. |
Tout ce qui se trouve à l’intérieur du sctotch est à peindre en rouge sauf le 46. |
Le travail de cache terminé, la peinture rouge est amenée. |
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Yves n’a jamais été aussi près de la quille. Michel et Loulou font dans la dentelle. |
Robert, dans une attitude lascive, trempe son pinceau. |
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Robert peint le liseré montant vers la dérive et Eugène prend le train. |
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Paul a le compas dans l’oeil et Patrick assure la sécurité. |
Stéphane met un cache-nez et Max caresse le département du Lot. |
Yves passe sur les détails et Patrick ne travaille pas à la “six, quatre, deux”. |
L es “trois stooges” au décollage et Robert “tire le numéro 46”. |
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Raymond domine la situation et Yves l’a dans le nez. |
Paré de sa livrée toute fraîche le Pélican 46 attend maintenant le démontage de la voilure début 2005. |
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En attendant ses couleurs finales, la cocarde est celle d’un pays imaginaire. |
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Il a été décidé de sortir l’avion pour le tourner et le rentrer la queue au fond du hangar. Lors de la manoeuvre, la roue du train droit s’est bloquée. |
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Les avions, très longtemps restés sans entretien, la corrosion a fait son oeuvre. Les plaquettes gonflées par la rouille sont sorties de leur logement et se sont coincées. |
Par acquit de conscience, le train gauche a également été vérifié. Max trace les contours des différentes couleurs pour que la cabine revête la même livrée que celle du Pélican 46. |