Novembre 2004

Le démontage des organes lourds et volumineux est programmé pour le 3 novembre afin de ne déplacer le camion grue qu’une seule fois.

Le Pélican 46 est reculé de quelques mètres jusqu’à ce que la dérive verticale se trouve à l’extérieur du hangar. Après quelques réticences de dernière minute dues à des fixations bien dissimulées, le haut de la dérive et le plan fixe horizontal sont déposés.

Le GPU (ground power unit) qui se tient dans le fuseau moteur droit est également déposé. La “poupe” de l’avion, une fois ses attributs démontés.

Puis arrive le dégroupage des moteurs équipés de leurs hélices.

Tous les accessoires de table arrière ont été déposés, ce qui permet en l’absence de support adéquat, de faire reposer les moteurs sur la couronne de cloison pare-feu.

Plan fixe horizontal arrière et moteurs, sont entreposés au fond du hangar.

Les “choumacs” à l’oeuvre. Réparation sur

 les gouvernes et blocage de la profondeur.

Le début de la livrée, les casseroles d’hélices sont repeintes en gris métal. Monsieur le Maire vient toutes les semaines se rendre compte de l’avancement des travaux.

Guy en équilibriste et Nicolas fait du stop.

Paul astique la queue et Michel a la main verte.

Pendant que Loulou désamiante les tuyauteries, Yves retaille les moustaches.

Le 22 novembre, la cabine destinée au musée de Saint Victoret quitte le site du Boussiron et par la route périphérique, rejoint le hangar du Pélican 46.

Loulou près du radiateur et Yves qui fait des étincelles.

Paul fait office d’étau et André tronçonne un arrêtoir pour bloquer les volets.

Des pièces son confectionnées sur mesure et sur place, pour réparer la gouverne de direction et le blocage des volets hypersustentateurs.

Stephane est au fuseau, et Robert se croit au bal masqué

Tels des étourneaux sur une ligne électrique, Guy; Yves, Max et Paul picorent la peinture anti-dérapante pendant que Loulou a les pieds dans le plat et que Raymond met de l’ordre dans les entrailles de la bête.

Au fur et à mesure du nettoyage, les anciens marquages réapparaissent.

Le ponçage terminé, l’avion est lavé à grande eau ainsi que toutes les parties qui ont été déposées.

Fin novembre, l’avion est prêt pour la peinture. Les ballonnets sont remontés pour être peints “à poste”.

Home page